poèmes de l'intérieur
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poèmes de l'intérieur
Déjà posté celui là sur Zc il y a un certain temps.
ô relatif
j'aime bien les couleurs de l'arc en ciel
De l'unicité nait la multitude
Si le cercle n'est qu'à demi, prenons de la hauteur
Car le relatif n'est autre que nous
Car l'absolu ne sera jamais l'autre
Le cercle se ferme alors
Percevoir c'est créer son monde
c'est cette beauté là que je regarde chez l'autre
Là au fond de ses yeux quand je regarde son coeur
Et parfois j'y perçois cette même lumière
Celle de l'arc en ciel qui me montre que le tout existe dans l'un
Dans la multitude des iris je trouverai cette unicité
Petit nom, joli, choisit pour ma fille
Fond Bleu comme la fleur, le jaune et le vert y sont furtifs
Car ce que l'on peut voir c'est le relatif
La somme de relatifs comme absolu
Souvenons-nous être la somme d'une infinité d'expériences
Sans passé, présent, ni futur
Sans espace
Voilà l'absolu
Voilà l'équilibre
Et si je regarde de haut
l'arc en ciel jouera de sa taille relative
mais il ne jouera jamais avec l'absolu de sa forme
Tout comme le cercle de la vie
Monsieur l'équilibre je vous voyais comme un point
En me rapprochant j'ai vu un cercle
j'avais encore oublié
Ce relatif!
ô relatif
j'aime bien les couleurs de l'arc en ciel
De l'unicité nait la multitude
Si le cercle n'est qu'à demi, prenons de la hauteur
Car le relatif n'est autre que nous
Car l'absolu ne sera jamais l'autre
Le cercle se ferme alors
Percevoir c'est créer son monde
c'est cette beauté là que je regarde chez l'autre
Là au fond de ses yeux quand je regarde son coeur
Et parfois j'y perçois cette même lumière
Celle de l'arc en ciel qui me montre que le tout existe dans l'un
Dans la multitude des iris je trouverai cette unicité
Petit nom, joli, choisit pour ma fille
Fond Bleu comme la fleur, le jaune et le vert y sont furtifs
Car ce que l'on peut voir c'est le relatif
La somme de relatifs comme absolu
Souvenons-nous être la somme d'une infinité d'expériences
Sans passé, présent, ni futur
Sans espace
Voilà l'absolu
Voilà l'équilibre
Et si je regarde de haut
l'arc en ciel jouera de sa taille relative
mais il ne jouera jamais avec l'absolu de sa forme
Tout comme le cercle de la vie
Monsieur l'équilibre je vous voyais comme un point
En me rapprochant j'ai vu un cercle
j'avais encore oublié
Ce relatif!
jolindien- Maître des fleurs
- Messages : 343
Points : 2957
Date d'inscription : 26/02/2017
Re: poèmes de l'intérieur
Je réagis à chaud....
ô Relatif
Tu érodes la droiture plantée en chacun de nous
et ploies la ligne qui nous fige
Tu te présentes à nous courbe
et nous transmues en virgule
ö Relatif
Tu es une proposition qui heurte la conjonction
Tu es une position qui tant concave ou convexe
déforme la droite qui cherche ses limites
se croyant reine en nos lieux
ô Relatif
Comme la lumière, tu nous éclaires et nous aveugles
On voit l'ombre et notre scintillement
On ne voit pas le mirage et les faux éclats
qui pensent briller jusqu'à notre effondrement
ö Relatif
Tu ralentis notre course et réfrènes nos élans
En nous, une syncope subtile tu installes
Pour respirer bien à nouveau
Et sentir la vie nous toucher
ô Relatif
Tu ne crois même pas
Toutes ces belles paroles
Qu'on t'adresse car déjà
Tu nous tournes le dos
ô Relatif
Tu érodes la droiture plantée en chacun de nous
et ploies la ligne qui nous fige
Tu te présentes à nous courbe
et nous transmues en virgule
ö Relatif
Tu es une proposition qui heurte la conjonction
Tu es une position qui tant concave ou convexe
déforme la droite qui cherche ses limites
se croyant reine en nos lieux
ô Relatif
Comme la lumière, tu nous éclaires et nous aveugles
On voit l'ombre et notre scintillement
On ne voit pas le mirage et les faux éclats
qui pensent briller jusqu'à notre effondrement
ö Relatif
Tu ralentis notre course et réfrènes nos élans
En nous, une syncope subtile tu installes
Pour respirer bien à nouveau
Et sentir la vie nous toucher
ô Relatif
Tu ne crois même pas
Toutes ces belles paroles
Qu'on t'adresse car déjà
Tu nous tournes le dos
Dernière édition par Izo le Dim 26 Fév 2017 - 20:51, édité 1 fois (Raison : des fôtes)
Izo- Bouquet de soleils
- Messages : 460
Points : 3094
Date d'inscription : 24/02/2017
Re: poèmes de l'intérieur
Izo,
L'espace se courbe pour accueillir le temps et ensemble ils disparaissent l'un à l'autre...
Un autre texte posté sur ZC, écrit à 4 mains (vers alternés), avec Cygne Ethéra (invité maintenant?)
Les vers sur le thème de la joie sont de moi (larmes de joie, vers pairs), ceux sur la tristesse (larmes de fond, vers impairs) sont de cygne.
Les larmes de fond, tel un chant de nos tréfonds,
Les larmes de joie, aspirer à être soi
Dans l’âme s’immiscent, de l’Âimer jaillissent,
En cris du cœur, quand le moi se meurt
Nos peines par sillons, surgissent de leur prison,
Illusions sur la voie, matrices de tant d'effroi
Lave de nos solstices, déferlantes qui gémissent .
Duel de strates inférieures, horizons sans vainqueur
Les larmes de fond, ne s’écoulent que par don,
Les larmes de joie, à l'égo qui se pare de soi
N’emportent rien sur leur passage, à l’Âmour, elles offrent hommage,
Poétesses sans paroles, maîtresses de nos envols,
Sculpture transparente de nos naufrages, perles de nos rivages,
Sirènes muettes ,d'un corps, d'une tête
La douceur sous ses gouttes, nous caresse sans mirages .
A l'oreille nagent, vers ce proche rivage .
Les larmes de fond, vagues d’âme de nos pardons,
Les larmes de joie, telle une liberté que l'on s'octroie
Nous coulent de source, nous ramènent sous surface,
En fontaines de jouvence, accepter son enfance
Nous plongent à la face, ne noient ni n’effacent,
Fontaines de conscience, ni oublis, ni absences,
Enfouies sous salées, creusées d’ émoi par souffrance qui passe,
Liquide de l'existence, salé de sa presence
Mes larmes de fond, ruisseau de mes tréfonds,
Mes larmes de joie, le un est alors juste loi
Je me coule, je me bois ; je me verse, je me reçois,
Sans objet, sans sujet ; pleines de vérités, sachant aimer
Du moi en gouttes, mon eau de vie,
Au delà de la science, sans soucis de pertinence
Mes yeux égouttent ce que ma peine lit,
A cœur dans l'essence, amour et constance
Sans tempête, ni détruit,
Un calme plat qui sourie
Les larmes de fond, eau de l’âme, sous ciel gris,
Les larmes de joie, sans envies, juste en vie
La pluie du cœur qui tombe sans bruit,
Séchent mon cœur pour qu'il n'ait plus peur
Une eau de source, sortie de son lit.
Une eau de vie, sortie de sa source
Les larmes de fond, inondent nos berges ; purifient nos rives,
Les larmes de joie, marée de vérités, liberantes d'un passé,
Torrents sous roche, cristaux de cierges chutent et dérivent,
Cessant le tumulte, plus jamais de luttes
Fleurs minérales, pétales séchées de pluie perlée
Et pousse alors la vie, là ou l'on s'épanouit
Etoiles mourantes, scintillantes filantes.
Disparaitre au moi, et renaitre à soi
Ô pure terreau , l’Âme au fourreau
Les larmes de joie, clapotis d'un jour nouveau
Les larmes de fond, lac minéral des Ô plateaux,
Traversantes du miroir, ni fond, ni surface,
Coulée d’étoiles ; le ciel se voile…le Cœur boit l’eau ;
Les larmes de fond, les larmes de joie,
Douces salées, naufragées sans radeau
Même reflet d'une belle métaphore filée.
L'espace se courbe pour accueillir le temps et ensemble ils disparaissent l'un à l'autre...
Un autre texte posté sur ZC, écrit à 4 mains (vers alternés), avec Cygne Ethéra (invité maintenant?)
Les vers sur le thème de la joie sont de moi (larmes de joie, vers pairs), ceux sur la tristesse (larmes de fond, vers impairs) sont de cygne.
Les larmes de fond, tel un chant de nos tréfonds,
Les larmes de joie, aspirer à être soi
Dans l’âme s’immiscent, de l’Âimer jaillissent,
En cris du cœur, quand le moi se meurt
Nos peines par sillons, surgissent de leur prison,
Illusions sur la voie, matrices de tant d'effroi
Lave de nos solstices, déferlantes qui gémissent .
Duel de strates inférieures, horizons sans vainqueur
Les larmes de fond, ne s’écoulent que par don,
Les larmes de joie, à l'égo qui se pare de soi
N’emportent rien sur leur passage, à l’Âmour, elles offrent hommage,
Poétesses sans paroles, maîtresses de nos envols,
Sculpture transparente de nos naufrages, perles de nos rivages,
Sirènes muettes ,d'un corps, d'une tête
La douceur sous ses gouttes, nous caresse sans mirages .
A l'oreille nagent, vers ce proche rivage .
Les larmes de fond, vagues d’âme de nos pardons,
Les larmes de joie, telle une liberté que l'on s'octroie
Nous coulent de source, nous ramènent sous surface,
En fontaines de jouvence, accepter son enfance
Nous plongent à la face, ne noient ni n’effacent,
Fontaines de conscience, ni oublis, ni absences,
Enfouies sous salées, creusées d’ émoi par souffrance qui passe,
Liquide de l'existence, salé de sa presence
Mes larmes de fond, ruisseau de mes tréfonds,
Mes larmes de joie, le un est alors juste loi
Je me coule, je me bois ; je me verse, je me reçois,
Sans objet, sans sujet ; pleines de vérités, sachant aimer
Du moi en gouttes, mon eau de vie,
Au delà de la science, sans soucis de pertinence
Mes yeux égouttent ce que ma peine lit,
A cœur dans l'essence, amour et constance
Sans tempête, ni détruit,
Un calme plat qui sourie
Les larmes de fond, eau de l’âme, sous ciel gris,
Les larmes de joie, sans envies, juste en vie
La pluie du cœur qui tombe sans bruit,
Séchent mon cœur pour qu'il n'ait plus peur
Une eau de source, sortie de son lit.
Une eau de vie, sortie de sa source
Les larmes de fond, inondent nos berges ; purifient nos rives,
Les larmes de joie, marée de vérités, liberantes d'un passé,
Torrents sous roche, cristaux de cierges chutent et dérivent,
Cessant le tumulte, plus jamais de luttes
Fleurs minérales, pétales séchées de pluie perlée
Et pousse alors la vie, là ou l'on s'épanouit
Etoiles mourantes, scintillantes filantes.
Disparaitre au moi, et renaitre à soi
Ô pure terreau , l’Âme au fourreau
Les larmes de joie, clapotis d'un jour nouveau
Les larmes de fond, lac minéral des Ô plateaux,
Traversantes du miroir, ni fond, ni surface,
Coulée d’étoiles ; le ciel se voile…le Cœur boit l’eau ;
Les larmes de fond, les larmes de joie,
Douces salées, naufragées sans radeau
Même reflet d'une belle métaphore filée.
jolindien- Maître des fleurs
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Re: poèmes de l'intérieur
Oui en arceau
Izo- Bouquet de soleils
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Points : 3094
Date d'inscription : 24/02/2017
Re: poèmes de l'intérieur
Un pas vers soi
Esclave consentant
illusion de la personnalité
Responsable mais pas coupable
ce Chercheur pénitent
cherchant ce comment
ne jamais se trouver
commençant par la fin
mais ce n'est qu'un début
forgeant sa propre illusion
miroir d'une projection
effaçant tout de la réalité.
En ce creux, en ce plein
Commencer par s'aimer
Non cent ans, juste sans temps
Continuer à aimer
Bien plus que cela, le cela observable,
non une simple image...,plutôt univers fractal.
Entier et multitude, singulière beauté.
Comment commencer...?
Faire un pas, le premier pas vers soi.
sans peur, sans attente,
Il y a en nous tellement à découvrir.
Esclave consentant
illusion de la personnalité
Responsable mais pas coupable
ce Chercheur pénitent
cherchant ce comment
ne jamais se trouver
commençant par la fin
mais ce n'est qu'un début
forgeant sa propre illusion
miroir d'une projection
effaçant tout de la réalité.
En ce creux, en ce plein
Commencer par s'aimer
Non cent ans, juste sans temps
Continuer à aimer
Bien plus que cela, le cela observable,
non une simple image...,plutôt univers fractal.
Entier et multitude, singulière beauté.
Comment commencer...?
Faire un pas, le premier pas vers soi.
sans peur, sans attente,
Il y a en nous tellement à découvrir.
jolindien- Maître des fleurs
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Points : 2957
Date d'inscription : 26/02/2017
Re: poèmes de l'intérieur
Vivre est une approche
que l'approche déplace
Je bouge, ça bouge
Réalité terrestre
Réalité maritime
Etre un brasier ?
Un abreuvoir ?
que l'approche déplace
Je bouge, ça bouge
Réalité terrestre
Réalité maritime
Etre un brasier ?
Un abreuvoir ?
Izo- Bouquet de soleils
- Messages : 460
Points : 3094
Date d'inscription : 24/02/2017
Re: poèmes de l'intérieur
Un pas qui approche d'une moitié
l'absolu vision de l'infini
qui se perçoit sans jamais
vraiment se laisser embrasser
un pas approchant d'une autre moitié
être relatif
changer sa perception du monde
car le monde n'est à nos yeux
que le relatif que l'on voit
telle une limite que l'on s'accorde
Être à nous, aux autres, au tout
au rien.
Juste être.
Absolu comme somme
infinité du relatif
Aimer toutes les parties
Détaché d'un bien, d'un mal
Ce qui doit être, est.
Et nous, que faisons-nous
avec ce que nous sommes
avec cette somme
l'absolu vision de l'infini
qui se perçoit sans jamais
vraiment se laisser embrasser
un pas approchant d'une autre moitié
être relatif
changer sa perception du monde
car le monde n'est à nos yeux
que le relatif que l'on voit
telle une limite que l'on s'accorde
Être à nous, aux autres, au tout
au rien.
Juste être.
Absolu comme somme
infinité du relatif
Aimer toutes les parties
Détaché d'un bien, d'un mal
Ce qui doit être, est.
Et nous, que faisons-nous
avec ce que nous sommes
avec cette somme
jolindien- Maître des fleurs
- Messages : 343
Points : 2957
Date d'inscription : 26/02/2017
Re: poèmes de l'intérieur
Segment de vie
Pas à pas
Cheminer vers l'arc
Sans retour possible
Le vide tout autour
Une main parfois tout autour
De soi en amie,
En amoureuse
Pour passagèrement
Passer ce chemin là
Délicat de la vie
Jusque vers l'illusoire infini.
Pas à pas
Cheminer vers l'arc
Sans retour possible
Le vide tout autour
Une main parfois tout autour
De soi en amie,
En amoureuse
Pour passagèrement
Passer ce chemin là
Délicat de la vie
Jusque vers l'illusoire infini.
Izo- Bouquet de soleils
- Messages : 460
Points : 3094
Date d'inscription : 24/02/2017
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