Présentation d'izo

Mon nom est James, James Bond.... Bon ça c'est quand je rêve, Je vous rassure, je n'ai le permis de tuer, mais seulement celui de savoir. Et savoir me captive, car c'est mon carburant.

Détectée HP du bout des lèvres, à 10 ans, jadis donc, au siècle dernier, j'emprunte depuis, le chemin menant vers la connaissance pour atteindre mes pairs, c'est-à-dire l'autre que moi même qui m'interpelle dans sa sagesse, sa cruauté et sa folie.

Mes goûts sont à cet égard éclectiques, électriques aussi, électrisants en fait. Ils me donnent la lumière qui me permet de mieux voir le monde.

Tous mes sens sont concernés et mis en alerte :
- l'ouïe avec la musique sérieuse (de Bach à Boulez), sérieuse aussi (de Brel à Barbara) et sérieuse encore (Agnes Obel , Sufjan Stevens, Radiohead, Bon Iver et bien d'autres),
Jouée en ma présence, la musique me touche et me devient très tactile. Au concert je la sens me parcourir augmentant ma mémoire de travail qui n'a pas brillé le jour du test je dois bien l'avouer. Mon moi est un univers sonore car je chantonne pas mal dans ma tête.
- la vue avec le dessin, les films et les peintres ; pas de liste car je manquerai de place. Mon moi est vivement coloré car je porte de nombreuses images dans ma tête.
- la vue et le toucher encore avec les livres avec qui mes rapports sont spéciaux voire limites préoccupants. Omar Shériff se faisait interdire l'accès aux salles de jeux. Je pense que je devrais en faire autant avec les librairies. Je m'achète au bas mot au moins deux livres par semaine. Parce que quand je les ouvre, ils s'offrent à moi intégralement. Leurs mots grimpent sur moi et me disent tout le bien qu'ils font dans le livre que je tiens. Ils me sont donc irrésistibles. Et puis j'aime l'odeur et le grain du papier (feu mon grand père était imprimeur).
- le tout quand une question me fait vibrer qui touche la nature. J'essaie de me consacrer à elle au travers de mon métier qui est axé sur le respect de l'environnement et le développement durable dont le domaine est très vaste, ce qui me convient car j'aime bien lier et apprécie à cet égard les gens qui s'offrent à nous tels de véritables feux d'artifices à toucher à la fois et la terre et le ciel pour nous illuminer.

Voili voilà... merci de m'accueillir ici.

Bienvenue,
J'ignorais tout ce côté mélomane. J'ai hâte de te lire.

Bienvenue izo,

Est-ce que tu arrives à entreposer tout tes livres ?

@ Penguin : J'ai l'avantage d'avoir à disposition une pièce spécialement destinée à leur stockage, pompeusement appelée la bibliothèque. Il s'en trouve aussi dans le couloir menant aux chambres où nous avons intégré une bibliothèque qui encadre tout le mur.
Sinon je pratique assez souvent un tri afin de dégager de la place aux nouveaux venus. Je dissémine les livres dont je me sépare parfois avec douleur sur les lieux publics ou à Emmaüs.

Je te jalouse.

Bienvenue !

Je crois que je ne pourrais avoir la force de me séparer d'un livre à moi... Tu es courageuse.

Très jolie présentation.

Apprends moi à lire, s'il te plaît.

Claire concise riche.

Bienvenue izocellequi

Bienvenue James Bond

James Bond va tirer attention ! sur les fils pour les faire vibrer, enfin, tenter de les faire osciller de leur axe car j'aime l'oscillation, c'est une rotation régulière que naguère j'expérimentais pour me bercer d'illusions, de rêves fous et de raison aussi. Des voix étouffées me parvenaient me recommandant de cesser de bouger ainsi. Cependant l'immobilité bien que je puisse m'y contraindre, parfois m'agace. je m'agite et danse ma ronde autour de gens interdits d'eux mêmes, bloqués dans l'entrefait de leur être. Je tourne alors comme une étoile en furie autour de Saturne pour épousseter les épaules aigries et courbes.
Tel est mon décalage; il est puissant, saillant et blessant parfois. je me coupe à mon contact.
Je rage de voir le sommeil brouiller les yeux qui se croient vivants et ouverts. Je ne distingue pas de flammes qui éclairent l'humain que nous sommes.
Je balance mes mots comme un feu ou une eau amicale, non pour laver mais pour faire briller un parquet laminé ou trop foulé. La bêtise s'empare de moi et me prend pour un hôtel. je deviens une concierge et cela m'amuse. la souffrance que je n'éprouve pas me navre. Je voudrais ouvrir les fenêtres en chacun de nous et jeter toutes les clés aux orties.

j'ai izoé tout Hélios ce soir. Qui prend le relais ?

pas assez inspirée ces temps derniers. Mais merci pour ces interventions, poesies.
Ca colore !
Faut qu'on recrute. Je sais plus quoi faire ^^

Chuuuuuut ! écoutes-le ...

Merci Momosse pour ces petites notes

@momosse : t'es chauve.
Et pas aimable

Il y en a pourtant pas mal qui m'aime bien (voir plus) Vive ... et j'obtiens ce résultat inespéré (mais naturel puisque...) quasiment sans faire le moindre effort ressenti.

Et je ne suis pas chauve mais je me rase le crâne pour uniformiser ma calvitie partielle ; soyons précis ^^

Je confirme Momosse gagne à etre connu !

Oui oui Izo, connais le toi meme, moi je me passe tres bien de lui. Trop tard.

Vive a écrit:Oui oui Izo, connais le toi meme, moi je me passe tres bien de lui. Trop tard.

A chacun sa mesure et son choix

Bon je suis ravie d'être ici, j'apprends tellement de vous sur vous. Étant comme une anthropologue en cette terre étrange, vos moindres indices concernant vos us et coutumes en matière de vie et de comportement ajoutent à ce que je sais déjà. Je m'étonne de cette emprise puissante des émotions sur vos agissements et vos jugements. J'en reste coi. Quand dans la vraie vie quelqu'un me dit son malaise ou mal etre, je la regarde tout autrement désormais, de la même manière qu'elle me regarde surprise de ma réaction nulle à son égard. J'essaie de colorer cette nullissime réaction pour gagner en empathie maintenant. Je m'humanimise. A suivre.

Ah oui je vais devenir bavarde, va falloir s'habituer !

Donc la roue quand elle ne tourne pas elle bloque tout. J'ai pris la bus pour la première fois dans la ville où je suis née. C'est comme si j'étais ailleurs, des gens qui entrent, sortent. Plein de couleurs que je ne vois pas quand je suis au volant, où priment les nuances grisées. En vélo le vert me saute au visage et je ne chante pas, toute concentrée sur mes appuis et ce balancement régulier que j'aime - je suis donc complètement fada hein ? - en bus c'est un arc en ciel que je vois chez les gens de tout bord et de tout âge. Epuisée le sommeil s'est glissé en moi pour me ôter de tout cela pendant 10 minutes, juste le nécessaire pour savourer ensuite mes retrouvailles avec mon énergie retrouvée.

Je laisse tomber Ulysse de Joyce ou pas ? 300 pages et je ne sursaute pas comme prévu.... où est ce cercle enchanté dont j'ai tant entendu parler ?

300 sur combien ?
J'ai le meme souci avec mon roman. Mais mais peut être que je ne suis pas assez dedans? En réalité j'ai ausdi un problème avec la plume de l'auteur.
Nan je vais persister un peu.

Izo,
différents,
mais semblables.

jolindien a écrit:Izo,
différents,
mais semblables.

différent ET semblable on (je) dit...

On dit cela, et bien je dis mais car d'un point de vue personnel on crée la différence.

la différence par rapport à quoi ?
La ressemblance par rapport à quoi ? qui ?
Créer la différence, et si elle était innée ?
Ou si la différence était le postulat de départ, annihilée ensuite ? par des impératifs supérieurs - genre survie ? ou selon le cas favorisée pour les mêmes causes (cf la diversité).
Telles sont les questions.

Facteur d'échelle la différence...
Plaçons nous à l'échelle atomique, particules semblables
plaçons nous à l'échelle de l'univers, une particule semblable à toutes les autres.

il n'y a plus de différences,
seul diffère le lien qui unit ces particules.
Ou l'agencement de ces particules.

jolindien a écrit:Facteur d'échelle la différence...
Plaçons nous à l'échelle atomique, particules semblables
plaçons nous à l'échelle de l'univers, une particule semblable à toutes les autres.

il n'y a plus de différences,
seul diffère le lien qui unit ces particules.
Ou l'agencement de ces particules.

J'ai habituellement un discours rassembleur, mais pas là où je pense que toute entité est unique quelque soit l'échelle nano, micro, macro.
Etant toute chose est dissociée, elle se singularise mais obéit à des principes partagés du fait du contexte.
Je dirais même que je ne suis qu'assemblage, ainsi que les choses. La table n'est pas une, si je me penche pour la regarder je vois une myriade s'atomes qui s'entrechoquent. Si je me considère je ne suis qu'un réseau de molécules imbriquées les unes sur les autres. Je ne suis même pas une ! Ma cellule alpha ne ressemble pas à sa voisine.