Poesie? Chais pas ...
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Poesie? Chais pas ...
Honni sois tu en ma demeure
Toi, le concessionnaire du marchandage
Toi qui transiges et t'accomodes
Honni sois tu en ma demeure.
Il est des contrées plus belles, d'enchanteurs paysages
Toi qui renonces et ne crois plus
Honni sois tu en ma demeure
Si l'homme se perd, prends donc sa main
Guide le vers la lumière , mais point n'abandonne!
Tu etais des miens, tu as trahi
Sois d'ici pour toujours banni
Pars, frère, suis donc comme eux le sombre chemin et
Honni sois tu en ma demeure .
Sur mon fil deja ... puis au final entre pensée philosophique et poème.
Je dédie ces lignes aux frondeurs, à ceux qui rêvent éveillés, qui vivent en éclairés dans un monde occidental gangrené. Les gens vont globalement mieux, mais la Terre trinque, et les non humains avec.
Toi, le concessionnaire du marchandage
Toi qui transiges et t'accomodes
Honni sois tu en ma demeure.
Il est des contrées plus belles, d'enchanteurs paysages
Toi qui renonces et ne crois plus
Honni sois tu en ma demeure
Si l'homme se perd, prends donc sa main
Guide le vers la lumière , mais point n'abandonne!
Tu etais des miens, tu as trahi
Sois d'ici pour toujours banni
Pars, frère, suis donc comme eux le sombre chemin et
Honni sois tu en ma demeure .
Sur mon fil deja ... puis au final entre pensée philosophique et poème.
Je dédie ces lignes aux frondeurs, à ceux qui rêvent éveillés, qui vivent en éclairés dans un monde occidental gangrené. Les gens vont globalement mieux, mais la Terre trinque, et les non humains avec.
Re: Poesie? Chais pas ...
Éthique
Chimère tu files telle une tique
Élégante manière et tact
Je pense à l'autre, et toc
Est sa reponse plaquée or
Prendre ses clics et sa claque
Vouloir partir encore
Prendre des risques et sa barque
Ou se fondre au décor
Chercher errer se prendre un roc
Se relever repartir je me moque
De moi de vous du monde, miss tics
J'ai ma facon de fuir ce temps , tactique.
Tu pourrais m'arrêter, faire cesser les tic tac?
Maintiens moi contre toi!
Fais taire les attaques, o éthique
Je serai ton plus fidèle soldat
Chimère tu files telle une tique
Élégante manière et tact
Je pense à l'autre, et toc
Est sa reponse plaquée or
Prendre ses clics et sa claque
Vouloir partir encore
Prendre des risques et sa barque
Ou se fondre au décor
Chercher errer se prendre un roc
Se relever repartir je me moque
De moi de vous du monde, miss tics
J'ai ma facon de fuir ce temps , tactique.
Tu pourrais m'arrêter, faire cesser les tic tac?
Maintiens moi contre toi!
Fais taire les attaques, o éthique
Je serai ton plus fidèle soldat
Re: Poesie? Chais pas ...
Je dépose cet être à tes pieds. Dans la corbeille de cette prairie.
Le froufrou des étoiles devenu audible
dispense une sagesse silencieuse.
Car même le silence soupire.
Il en est comme d'une eau saphirisée
scintillant dans une vasque d'or.
Le savoir qui succède à la nescience
est muet.
Le temps et l'espace s'achêvent
par: ...
Le froufrou des étoiles devenu audible
dispense une sagesse silencieuse.
Car même le silence soupire.
Il en est comme d'une eau saphirisée
scintillant dans une vasque d'or.
Le savoir qui succède à la nescience
est muet.
Le temps et l'espace s'achêvent
par: ...
Cyclopède- Bouquet de soleils
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Points : 3082
Date d'inscription : 01/03/2017
Re: Poesie? Chais pas ...
Le Bien le bal
Le mien le mal
Le rien le râle
Le tien le pâle
Se faire la malle
Le lien le graal
Le sien le sale
____________
La danse
Sa jambe dessine les ondes du bien, son bal
Si beau entraînant le mien, trop pâle
Sa lumière dans le rien, un râle
Elle danse, fait les liens, le graal
Je voudrais tant etre son monde, le sien
M'enfuir du mien sombre, le sale
La toucher de mes lèvres, mon bien
Cette fièvre me rend fou, j'ai mal.
Son corps vole je retiens mon souffle
Ses cheveux comme un songe, j'en souffre
Elle est irréelle, cette fée qui danse
Elle est juste en moi, dans ma demence.
Le mien le mal
Le rien le râle
Le tien le pâle
Se faire la malle
Le lien le graal
Le sien le sale
____________
La danse
Sa jambe dessine les ondes du bien, son bal
Si beau entraînant le mien, trop pâle
Sa lumière dans le rien, un râle
Elle danse, fait les liens, le graal
Je voudrais tant etre son monde, le sien
M'enfuir du mien sombre, le sale
La toucher de mes lèvres, mon bien
Cette fièvre me rend fou, j'ai mal.
Son corps vole je retiens mon souffle
Ses cheveux comme un songe, j'en souffre
Elle est irréelle, cette fée qui danse
Elle est juste en moi, dans ma demence.
Re: Poesie? Chais pas ...
Corrigée ( un peu)
____________
La danse
Sa jambe dessine un été indien, son bal
Si beau que j'en saigne,entraîne le mien, trop pâle
Une lumière dans le rien, elle provoque mon râle
Elle danse, fait les liens, en son doux sein le graal
Je voudrais tant etre son monde, le sien
M'enfuir du mien sombre, le sale
La toucher de mes lèvres, mon bien
Cette fièvre me rend fou, j'ai mal.
Son corps vole, leger, je retiens mon souffle
Ses cheveux comme un songe, j'en souffre
Elle est irréelle, cette fée qui danse
Bien vivante pourtant dans ma demence.
____________
La danse
Sa jambe dessine un été indien, son bal
Si beau que j'en saigne,entraîne le mien, trop pâle
Une lumière dans le rien, elle provoque mon râle
Elle danse, fait les liens, en son doux sein le graal
Je voudrais tant etre son monde, le sien
M'enfuir du mien sombre, le sale
La toucher de mes lèvres, mon bien
Cette fièvre me rend fou, j'ai mal.
Son corps vole, leger, je retiens mon souffle
Ses cheveux comme un songe, j'en souffre
Elle est irréelle, cette fée qui danse
Bien vivante pourtant dans ma demence.
Re: Poesie? Chais pas ...
La fuite
Deux yeux et curieux s'approchent
Mon sourire leur repond, j'accroche
Son coeur . Eveillé, il se sent,
Piégé par le mien, impatient
Il est loup, et demeure solitaire indompté
Implacable têtu, son vertige l'effraie
Je me livre ardemment et lui tends ma pudeur
Mon orgueil, mon emoi tous les doutes et ma peur.
L'attente commence alors - mais je n'ai aucun choix-
Il hume, hésite encore! Recule et puis s'en va.
Il rue, devient colere , lui meme ne comprend pas
Qu'il aime sûrement pour la première fois.
Deux yeux et curieux s'approchent
Mon sourire leur repond, j'accroche
Son coeur . Eveillé, il se sent,
Piégé par le mien, impatient
Il est loup, et demeure solitaire indompté
Implacable têtu, son vertige l'effraie
Je me livre ardemment et lui tends ma pudeur
Mon orgueil, mon emoi tous les doutes et ma peur.
L'attente commence alors - mais je n'ai aucun choix-
Il hume, hésite encore! Recule et puis s'en va.
Il rue, devient colere , lui meme ne comprend pas
Qu'il aime sûrement pour la première fois.
Re: Poesie? Chais pas ...
Le demi n'est pas sa mesure,
Ainsi le temps murmure,
Qu'a tu fais de moi,
l'abstraction que je ne suis pas?
Solitaire, par sa nature
Vertige sauvage,
ou il se sied,
Une question, s'abandonner?
S'arrêtant, haletant,
cœur battant,
il se fit immobile,
ainsi il était libre.
Un tressaut l'assaille,
Douceur inconnue
Enveloppant son cœur,
langoureuse senteur.
Ainsi le temps murmure,
Qu'a tu fais de moi,
l'abstraction que je ne suis pas?
Solitaire, par sa nature
Vertige sauvage,
ou il se sied,
Une question, s'abandonner?
S'arrêtant, haletant,
cœur battant,
il se fit immobile,
ainsi il était libre.
Un tressaut l'assaille,
Douceur inconnue
Enveloppant son cœur,
langoureuse senteur.
jolindien- Maître des fleurs
- Messages : 343
Points : 2958
Date d'inscription : 26/02/2017
Re: Poesie? Chais pas ...
Ton insolence
La défiance dans ton regard de loup
Nonchalant tu te fiches de tout
Le jeu, te divertir et trahir debout
Bras croisés tu ignores ma douleur
Pauvre fou
Tu m'aimes mais tu nous tues
Si sur que rien ne pourra ébranler
L'évidence de nos corps que nous faisons hurler
Je t'aime mais je nous hais.
La défiance dans ton regard de loup
Nonchalant tu te fiches de tout
Le jeu, te divertir et trahir debout
Bras croisés tu ignores ma douleur
Pauvre fou
Tu m'aimes mais tu nous tues
Si sur que rien ne pourra ébranler
L'évidence de nos corps que nous faisons hurler
Je t'aime mais je nous hais.
Re: Poesie? Chais pas ...
Oraison
De nos flammes et nos passions, que reste t il donc?
Une course à l'orgueil, une place au soleil
Voila donc ce que l'homme poursuit de merveilles
Du printemps à l'hiver, les yeux moribonds
Horizons disparus, sous un fatras d'objets
Maladie de diogene, l'avoir accumulé
Voila le savoir, voila l'étrange être
Qu'il me faut aimer, qu'il me faille connaître .
Aux raisons de mon coeur, je ne puis succomber
Moi la libre, l'aimante, la fille écorchée
Prendre le mur encore et rêver l'infini
Jusqu'au bout, je ne cesserai de chercher l'ami.
De nos flammes et nos passions, que reste t il donc?
Une course à l'orgueil, une place au soleil
Voila donc ce que l'homme poursuit de merveilles
Du printemps à l'hiver, les yeux moribonds
Horizons disparus, sous un fatras d'objets
Maladie de diogene, l'avoir accumulé
Voila le savoir, voila l'étrange être
Qu'il me faut aimer, qu'il me faille connaître .
Aux raisons de mon coeur, je ne puis succomber
Moi la libre, l'aimante, la fille écorchée
Prendre le mur encore et rêver l'infini
Jusqu'au bout, je ne cesserai de chercher l'ami.
Re: Poesie? Chais pas ...
Le secret
Le secret
Il est une Vérité que pourtant je dois taire
Moi l'ardente Cassandre, aux rebelles pensées .
Laisser passer dans l'ombre, se heurter aux chimères
Comprenez donc, leurs larmes je ne puis essuyer,
C'est à la brebis des montagnes que j'ai pu dire
Le terrible tourment qui me lasse et me tue
Son âme blanche, sa douceur ne connaissent point d'ire.
Son langage, des hommes, demeure inconnu.
Je dois donc mourir pour une sainte paix
Ils ne sauront entendre, le monde serait chaos!
Me tourner vers ceux la qui ignorent le langage
Voila ma redemption, et la dernière des pages.
Le secret
Il est une Vérité que pourtant je dois taire
Moi l'ardente Cassandre, aux rebelles pensées .
Laisser passer dans l'ombre, se heurter aux chimères
Comprenez donc, leurs larmes je ne puis essuyer,
C'est à la brebis des montagnes que j'ai pu dire
Le terrible tourment qui me lasse et me tue
Son âme blanche, sa douceur ne connaissent point d'ire.
Son langage, des hommes, demeure inconnu.
Je dois donc mourir pour une sainte paix
Ils ne sauront entendre, le monde serait chaos!
Me tourner vers ceux la qui ignorent le langage
Voila ma redemption, et la dernière des pages.
Re: Poesie? Chais pas ...
Pornographie
Hercule, recule, tu lui fais mal
A ce jeu, Minucule, je te recale
Quand dans elle tu plantes ton majeur
Quand sur elle, tu vides ta laideur
Ère du cul, vulgaire
Culture que le cul tue
Sans culte, va , erre
Jouis de corps sculptés et nus
Porcs sans graphisme
Sans rêve sans âme
Nul arôme dans l'aromantisme
Une mort sur le macadam
Moi je veux mourir de tes yeux
De tes mains tendres et de ta peau
Baise mon esprit , de ton doux pieux
M'offrir à ta grace, et trouver le repos.
Hercule, recule, tu lui fais mal
A ce jeu, Minucule, je te recale
Quand dans elle tu plantes ton majeur
Quand sur elle, tu vides ta laideur
Ère du cul, vulgaire
Culture que le cul tue
Sans culte, va , erre
Jouis de corps sculptés et nus
Porcs sans graphisme
Sans rêve sans âme
Nul arôme dans l'aromantisme
Une mort sur le macadam
Moi je veux mourir de tes yeux
De tes mains tendres et de ta peau
Baise mon esprit , de ton doux pieux
M'offrir à ta grace, et trouver le repos.
Re: Poesie? Chais pas ...
Poésie? J'aurai dis oui. On pourrait même dire nouvelles-poésie pour certaines tant elles transportent. La dernière me fait regretter la puberté ou du moins les mêmes dérives que tu évoques, mais c'est un autre sujet. Celle du loup, y'avait le ressenti et le visuel qui venait avec. J'aime en tout cas, tu vas me réconcilier avec cet art.
Exxeme- Rose Reine
- Messages : 96
Points : 2573
Date d'inscription : 20/07/2017
Re: Poesie? Chais pas ...
La Mère
Dans sa ronde, seule, elle danse avec le soleil
Immuable et forte d'un hasard miraculeux
Immanence, merveille, en toi je vois mon Dieu
À chacun tu donnes l'eau, L'air et le miel
Qui sont donc ceux qui veulent toujours davantage ?
T'eventreront donc t-ils jusqu'à toucher la mort?
Chaque jour ils meurtrissent et apportent ravages
Ignorants par nature et adorant leur or.
La coupe est presque vide, viendront les sacrifices.
La loi de la nature n'a que faire de vos vices.
De vos fécondités et vos désirs étranges
Elle punira bientôt , et peut être par l'Ange.
Alors c'était cela le Paradis perdu!
Comme j'aurais aimé un jour l'avoir connu!
J'ai voulu voir la Terre, mais il était Trop tard
Le soleil disparu, envahie de cafards
Dans sa ronde, seule, elle danse avec le soleil
Immuable et forte d'un hasard miraculeux
Immanence, merveille, en toi je vois mon Dieu
À chacun tu donnes l'eau, L'air et le miel
Qui sont donc ceux qui veulent toujours davantage ?
T'eventreront donc t-ils jusqu'à toucher la mort?
Chaque jour ils meurtrissent et apportent ravages
Ignorants par nature et adorant leur or.
La coupe est presque vide, viendront les sacrifices.
La loi de la nature n'a que faire de vos vices.
De vos fécondités et vos désirs étranges
Elle punira bientôt , et peut être par l'Ange.
Alors c'était cela le Paradis perdu!
Comme j'aurais aimé un jour l'avoir connu!
J'ai voulu voir la Terre, mais il était Trop tard
Le soleil disparu, envahie de cafards
Re: Poesie? Chais pas ...
L'antre des délices
Fière et altière, je vins sur mon cheval, dressée
Mes Cheveux d'or aux vents, mes joues de sang rougies
De son manoir trop sombre je me suis approchée
Désirs inavouables auxquels je me remis ,
Le coeur battant chamade, la conscience etourdie
Ne sachant résister , sentant poindre folie
Je me soumettais, ivre, à sa pareille démence
Mais je n'ignorais rien du jeu vil de mes sens
Il est apparu calme, malgré des yeux brûlants
Je sentais tout l'amour qu'il allait me donner
Posa mains sur ma nuque, le regard caressant
Mon âme éperdue de passion pour l'aimé.
J'eus préfère le fuir, je le craignais aussi
Intransigeant et doux, exigeant tout de moi
Je l'aimais tant deja, l'amour cette infamie
Enchaînée à son coeur, a son âme de soie.
Fière et altière, je vins sur mon cheval, dressée
Mes Cheveux d'or aux vents, mes joues de sang rougies
De son manoir trop sombre je me suis approchée
Désirs inavouables auxquels je me remis ,
Le coeur battant chamade, la conscience etourdie
Ne sachant résister , sentant poindre folie
Je me soumettais, ivre, à sa pareille démence
Mais je n'ignorais rien du jeu vil de mes sens
Il est apparu calme, malgré des yeux brûlants
Je sentais tout l'amour qu'il allait me donner
Posa mains sur ma nuque, le regard caressant
Mon âme éperdue de passion pour l'aimé.
J'eus préfère le fuir, je le craignais aussi
Intransigeant et doux, exigeant tout de moi
Je l'aimais tant deja, l'amour cette infamie
Enchaînée à son coeur, a son âme de soie.
Re: Poesie? Chais pas ...
Vendanges
A velo nous irons,
sur les chemins rocailleux
Sur les sentiers, rirons
Comme les enfants amoureux
Cueillir les fruits de nos vendanges
Mon amour voici que vient septembre
Les feuilles des chênes prennent leur ambre
Vois donc comme la nature est belle
Et comme tu te fonds avec elle !
Toi le plus merveilleux mélange
La brise te rend plus beau encore
Tes mains gourmandes boivent l'or
Des grappes douces gorgées de jus
Elles donneront le plus grand crû
Le vin des dieux, nectar de l'ange.
Puis quand nous rentrerons rompus
D'avoir tant ri, d'avoir trop bu
Je prendrai sur tes lèvres la fin du soleil
Regretterai un peu que la journee s'acheve
Mais qu'il est heureux, le temps des vendanges .
A velo nous irons,
sur les chemins rocailleux
Sur les sentiers, rirons
Comme les enfants amoureux
Cueillir les fruits de nos vendanges
Mon amour voici que vient septembre
Les feuilles des chênes prennent leur ambre
Vois donc comme la nature est belle
Et comme tu te fonds avec elle !
Toi le plus merveilleux mélange
La brise te rend plus beau encore
Tes mains gourmandes boivent l'or
Des grappes douces gorgées de jus
Elles donneront le plus grand crû
Le vin des dieux, nectar de l'ange.
Puis quand nous rentrerons rompus
D'avoir tant ri, d'avoir trop bu
Je prendrai sur tes lèvres la fin du soleil
Regretterai un peu que la journee s'acheve
Mais qu'il est heureux, le temps des vendanges .
Re: Poesie? Chais pas ...
Coquelicot
Extrait de coeur, goutte de sang
Coquelicot bat dans le champs
A ton dessin je m'illumine
Et sur ta courbe je m'incline
Fleur de l'été fleur de mon ciel
Ton éclat vif n'a de pareil
Sur ton pétale perle rosée
Tel lèvres tendres de mon aimé
Comme le peintre te saisir
Chercher ce rouge, y revenir
De mon pinceau trouver le pourpre
Le vermillon, qu'il faut résoudre
Extrait de coeur, goutte de sang
Coquelicot bat dans le champs
A ton dessin je m'illumine
Et sur ta courbe je m'incline
Fleur de l'été fleur de mon ciel
Ton éclat vif n'a de pareil
Sur ton pétale perle rosée
Tel lèvres tendres de mon aimé
Comme le peintre te saisir
Chercher ce rouge, y revenir
De mon pinceau trouver le pourpre
Le vermillon, qu'il faut résoudre
Re: Poesie? Chais pas ...
Humeurs
Lugubre, persiflante à l'ombre des doutes
Insalubre, la porte croulant sous sa voûte
Celle ci garde mon âme au fond d'un intouchable
Un temple vide et propre, comme c'est agréable .
Désireuse, pourtant de sommeil éternel
S'assomer par les songes, mortifère réel
La porte me menace de s'ouvrir à ce monde
Elle me dit-va t en donc-et son regard me sonde
Humeur humeur tu me fais toi, je te fais mienne
Vertige -lueur etrange j'attends que la paix vienne
Berger de ma raison, gardien de mes tourments
Fais s'éloigner de moi ces êtres envahissants.
Fermée doit cette porte rester.
Lugubre, persiflante à l'ombre des doutes
Insalubre, la porte croulant sous sa voûte
Celle ci garde mon âme au fond d'un intouchable
Un temple vide et propre, comme c'est agréable .
Désireuse, pourtant de sommeil éternel
S'assomer par les songes, mortifère réel
La porte me menace de s'ouvrir à ce monde
Elle me dit-va t en donc-et son regard me sonde
Humeur humeur tu me fais toi, je te fais mienne
Vertige -lueur etrange j'attends que la paix vienne
Berger de ma raison, gardien de mes tourments
Fais s'éloigner de moi ces êtres envahissants.
Fermée doit cette porte rester.
Re: Poesie? Chais pas ...
Code ISBN
Mieux qu'un BN
13 chiffres pour n livres
Dont la Som(chiffre x position) = y toujours divisible par 10
Saut de 13 à 10
Pas de géant.
Parfois dans l'ISBN
Se glisse un X
Qui cache un 10
Pour garantir cette constante divisibilité
Parade contre l'erreur
Et la prolifération
Mieux qu'un BN
13 chiffres pour n livres
Dont la Som(chiffre x position) = y toujours divisible par 10
Saut de 13 à 10
Pas de géant.
Parfois dans l'ISBN
Se glisse un X
Qui cache un 10
Pour garantir cette constante divisibilité
Parade contre l'erreur
Et la prolifération
Adrian- Graine de tournesol
- Messages : 11
Points : 2430
Date d'inscription : 15/09/2017
Re: Poesie? Chais pas ...
Vive a écrit:Qu'est ce que ça signifie, métaphysiquement je veux dire ?
Absolument rien. Il n'y a pas de message metamachin dessous. Je parle du code qu'on liti sur la couverture de tout bouquin.
Adrian- Graine de tournesol
- Messages : 11
Points : 2430
Date d'inscription : 15/09/2017
Re: Poesie? Chais pas ...
Ah d'accord ( je ne connaissais pas)
Sert à quoi ce code ? Ca a un truc à voir avec la propriété intellectuelle et artistique ?
Sert à quoi ce code ? Ca a un truc à voir avec la propriété intellectuelle et artistique ?
Re: Poesie? Chais pas ...
L'angoisse comme un monstre, la bête infernale
Je la sens qui me ronge, sa cadence létale
Fait mouvoir tout mon corps, s'émouvoir tous mes sens
Le noir devient la mort, j'y couche mon errance.
Les Poisons dans mon âme en torrents se répandent
Leurs flots comme incessants me clouent et je quémande
Ton existence encore pour une heure ou Bien deux
Tes beaux yeux grand ouverts, te voir encore un peu.
Cherir ma vérité mais que valent mes vœux
Je m'en irai demain le corps trop douloureux
Dois je donc maudire dois je donc me taire
Me débattre ou rester immobile et à terre
Il n'est pas raisonnable de défier les dieux
Il est moins sage encore de supporter le feu
Pour te toucher encor, donner mon âme au diable
Pactiserai ce soir autour de cette table
Dans les affres profonds d'un enfer bien gardé
L'élégante Malice proposa le marché - donne moi cher sujet deux ans de jeunesse
et tu retrouveras pour autant une part d'allégresse
( pas fini pas relu >>> ébauche )
Je la sens qui me ronge, sa cadence létale
Fait mouvoir tout mon corps, s'émouvoir tous mes sens
Le noir devient la mort, j'y couche mon errance.
Les Poisons dans mon âme en torrents se répandent
Leurs flots comme incessants me clouent et je quémande
Ton existence encore pour une heure ou Bien deux
Tes beaux yeux grand ouverts, te voir encore un peu.
Cherir ma vérité mais que valent mes vœux
Je m'en irai demain le corps trop douloureux
Dois je donc maudire dois je donc me taire
Me débattre ou rester immobile et à terre
Il n'est pas raisonnable de défier les dieux
Il est moins sage encore de supporter le feu
Pour te toucher encor, donner mon âme au diable
Pactiserai ce soir autour de cette table
Dans les affres profonds d'un enfer bien gardé
L'élégante Malice proposa le marché - donne moi cher sujet deux ans de jeunesse
et tu retrouveras pour autant une part d'allégresse
( pas fini pas relu >>> ébauche )
Re: Poesie? Chais pas ...
Le parfum est déjà enivrant gente Dame.
Peut-être faut-il se détacher du parfum et allez voir l'âme d’où émerge ce parfum.
Tout reflet se construit aussi sur une réalité, mais quelle est-elle?
Percevoir via des sens, via notre propre projection...toujours faillible, alors il reste le cœur, je crois, seul capable de voir ce qui est pour ce qu'il est vraiment.
Peut-être faut-il se détacher du parfum et allez voir l'âme d’où émerge ce parfum.
Tout reflet se construit aussi sur une réalité, mais quelle est-elle?
Percevoir via des sens, via notre propre projection...toujours faillible, alors il reste le cœur, je crois, seul capable de voir ce qui est pour ce qu'il est vraiment.
jolindien- Maître des fleurs
- Messages : 343
Points : 2958
Date d'inscription : 26/02/2017
Adultes Surdoués-Forum HELIOS (Hpi, Zèbres, hqi...) :: Litterature- Atelier littéraire :: Créations littéraires :: Poésies-création de poèmes
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