Les violences de l'amour
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Anarkyss
Vive
Cyclopède
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Re: Les violences de l'amour
Je ne suis pas certaine qu'être délogé de soi implique la passion.
En même temps je ne suis pas certaine de ce qu'il faut entendre par passion.
@incognito
Oui Fata parle d'un amour particulier.
Je ne crois pas que cet amour soit à condamner, mais les autres non plus.
En même temps je ne suis pas certaine de ce qu'il faut entendre par passion.
@incognito
Oui Fata parle d'un amour particulier.
Je ne crois pas que cet amour soit à condamner, mais les autres non plus.
Invité- Invité
Re: Les violences de l'amour
C'est vrai que je parlais de la passion qui nous mets "en grâce".
Après je crois qu'il est beaucoup question d'éducation, enfin compliqué comme ça.
Je crois moi qu'il soit à promouvoir.
Après je crois qu'il est beaucoup question d'éducation, enfin compliqué comme ça.
Je crois moi qu'il soit à promouvoir.
Anarkyss- Bouquet de soleils
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Date d'inscription : 27/02/2017
Re: Les violences de l'amour
D'accord, j'entendais quelque chose de douloureux dans ce terme de "passion" (à cause du titre)
Dans ce sens, oui.
Dans ce sens, oui.
Invité- Invité
Re: Les violences de l'amour
En gros, je pense que nous devons cultiver la "passion du beau" pour que nous puissions tendre plus loin nos "amour passionnel", qu'il y est des symboles, des images qui les propulsent plus loin.
Et non, qu'un jour, las, ils s'arrête parce que finalement... Finalement, c'est bien compliqué.
Et non, qu'un jour, las, ils s'arrête parce que finalement... Finalement, c'est bien compliqué.
Anarkyss- Bouquet de soleils
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Date d'inscription : 27/02/2017
Re: Les violences de l'amour
Ben oui c'est douloureux !
Anarkyss- Bouquet de soleils
- Messages : 416
Date d'inscription : 27/02/2017
Re: Les violences de l'amour
Alors je ne pense pas qu'il faille le promouvoir outre mesure.
Ce n'est pas nécessairement le plus intense.
M'enfin les goûts et les couleurs
Ce n'est pas nécessairement le plus intense.
M'enfin les goûts et les couleurs
Invité- Invité
Re: Les violences de l'amour
Toute éducation (apprentissage) est douloureuse.
Anarkyss- Bouquet de soleils
- Messages : 416
Date d'inscription : 27/02/2017
Re: Les violences de l'amour
Comme toute douleur devrait être un apprentissage.
Je me souviens d'une fois gamine ou je suis tombé, mon genoux était tout égratigné, ça piquait et ça faisait mal.
Et bien ce jour là, j'ai appris en constatant que je ne pleurais pas, que je n'avais pas la même réaction que d'ordinaire, que la souffrance finalement "se surmontait"
Et j'étais pas peu fière et satisfaite.
Je me sentais plus "invincible".
Je me souviens d'une fois gamine ou je suis tombé, mon genoux était tout égratigné, ça piquait et ça faisait mal.
Et bien ce jour là, j'ai appris en constatant que je ne pleurais pas, que je n'avais pas la même réaction que d'ordinaire, que la souffrance finalement "se surmontait"
Et j'étais pas peu fière et satisfaite.
Je me sentais plus "invincible".
Anarkyss- Bouquet de soleils
- Messages : 416
Date d'inscription : 27/02/2017
Re: Les violences de l'amour
Quel bel échange !
Merci HeliosPolis.
(En plus, je kiffe ce nom grec, je suis très sensible aux allusions et créations gréco-latines.
Pas gréco-latrines, hé congg !)
Pour répondre @ Vive.
..........Je ne sais pas comment expliquer.
Il me faudrait écrire un essai, un roman, un.....
Tu dis que "l'acide" de ce sentiment "ronge".
Et que tu ne t'y frotterais plus si.
Bon, malheureusement, le temps existe, et passe.
Le temps rend flou, éloigne,
à tel point qu'on oublie au quotidien.
Mais subsistent : les apprentissages.
J'ai appris de cette femme ce qu'est aimer.
Je l'en remercie.
Chuter de ces hauteurs laisse des traces. je ne suis pas indemne.
Mais j'ai appris.
Depuis : un manque.
Non d'elle (dont j'ai dû faire le deuil)
mais de ce sentiment découvert, vécu.
Je me suis enrichi.
Et appauvri : personne n'est venu combler le vide de son absence.
Pourtant je m'ouvre (cf Bashung).....
Point d'acide.
"toute douleur" est "un apprentissage".
Je suis un apprenti, sage.
Maintenant : amour, passion.....
Ce peut être un long thème.
Un long t'aime.
Je sais qu'un amour mal mené (malmené)
peut devenir obsession, donc passion.
(La passion vécue comme obsession).
Oui, j'ai vécu, tout ça.
Quant au
"Je t'aime -mais tu ne le sais pas-"
c'est le socle de mon existence.
Puisque c'est (encore) exact en ce jour d'hui.
(Et Monsieur If rêve : se peut-il que cesse ces maudits mots dits, mots tus,
motus et bouche....)
Désir d'une bouche. Qui parle et qui aime.
Po-aime.
Merci HeliosPolis.
(En plus, je kiffe ce nom grec, je suis très sensible aux allusions et créations gréco-latines.
Pas gréco-latrines, hé congg !)
Pour répondre @ Vive.
..........Je ne sais pas comment expliquer.
Il me faudrait écrire un essai, un roman, un.....
Tu dis que "l'acide" de ce sentiment "ronge".
Et que tu ne t'y frotterais plus si.
Bon, malheureusement, le temps existe, et passe.
Le temps rend flou, éloigne,
à tel point qu'on oublie au quotidien.
Mais subsistent : les apprentissages.
J'ai appris de cette femme ce qu'est aimer.
Je l'en remercie.
Chuter de ces hauteurs laisse des traces. je ne suis pas indemne.
Mais j'ai appris.
Depuis : un manque.
Non d'elle (dont j'ai dû faire le deuil)
mais de ce sentiment découvert, vécu.
Je me suis enrichi.
Et appauvri : personne n'est venu combler le vide de son absence.
Pourtant je m'ouvre (cf Bashung).....
Point d'acide.
"toute douleur" est "un apprentissage".
Je suis un apprenti, sage.
Maintenant : amour, passion.....
Ce peut être un long thème.
Un long t'aime.
Je sais qu'un amour mal mené (malmené)
peut devenir obsession, donc passion.
(La passion vécue comme obsession).
Oui, j'ai vécu, tout ça.
Quant au
"Je t'aime -mais tu ne le sais pas-"
c'est le socle de mon existence.
Puisque c'est (encore) exact en ce jour d'hui.
(Et Monsieur If rêve : se peut-il que cesse ces maudits mots dits, mots tus,
motus et bouche....)
Désir d'une bouche. Qui parle et qui aime.
Po-aime.
ifness- Coquelicot averti
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Date d'inscription : 28/02/2017
Re: Les violences de l'amour
Je sais (je crois savoir)qu'il prend le problème à l'envers, qu'il s'attache à la conséquence plus souvent qu'il ne délie la cause.
Comme toutes ses choses qui sont un comment pour trouver ce pourquoi.
Réelle dans notre projection collée au présent.
Illusoire car le passé nous fait et cependant il n'est plus.
Dit autrement, les conséquences sont nos actes, et ressentis liés
La cause est la raison qui entraine nos actes et donc les ressentis.
Toutes ses choses: dans le sens toutes les expériences de la vie.
La souffrance est réelle dans idée que l'on se fait de la réalité, cette projection mentale qui nous illusionne.
Illusoire car cette souffrance est corrélée à des événements passés qui n'existent plus, vivre dans ce qu'on a été, pas dans ce qu'on est, or nous évoluons, ce qui était bon hier ne l'est peut-être plus aujourd'hui.
jolindien- Maître des fleurs
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Date d'inscription : 26/02/2017
Re: Les violences de l'amour
- Spoiler:
- Qui dit esprit dit avant tout conscience. Mais, qu'est-ce que la conscience ? Vous pensez bien que je ne vais pas définir une chose aussi concrète, aussi constamment présente à l'expérience de chacun de nous. Mais sans donner de la conscience une définition qui serait moins claire qu'elle, je puis la caractériser par son trait le plus apparent : conscience signifie d'abord mémoire. La mémoire peut manquer d'ampleur ; elle peut n'embrasser qu'une faible partie du passé ; elle peut ne retenir que ce qui vient d'arriver ; mais la mémoire est là, ou bien alors la conscience n'y est pas. Une conscience qui ne conserverait rien de son passé, qui s'oublierait sans cesse elle-même, périrait et renaîtrait à chaque instant : comment définir autrement l'inconscience ? Quand Leibniz disait de la matière que c'est " un esprit instantané ", ne la déclarait-il pas, bon gré, mal gré, insensible ? Toute conscience est donc mémoire − conservation et accumulation du passé dans le présent.
Mais toute conscience est anticipation de l'avenir. Considérez la direction de votre esprit à n'importe quel moment : vous trouverez qu'il s'occupe de ce qui est, mais en vue surtout de ce qui va être. L'attention est une attente, et il n'y a pas de conscience sans une certaine attention à la vie. L'avenir est là ; il nous appelle, ou plutôt il nous tire à lui : cette traction ininterrompue, qui nous fait avancer sur la route du temps, est cause aussi que nous agissons continuellement. Toute action est un empiétement sur l'avenir.
Retenir ce qui n'est déjà plus, anticiper sur ce qui n'est pas encore, voilà donc la première fonction de la conscience. Il n'y aurait pas pour elle de présent, si le présent se réduisait à l'instant mathématique. Cet instant n'est que la limite, purement théorique, qui sépare le passé de l'avenir ; il peut à la rigueur être conçu, il n'est jamais perçu ; quand nous croyons le surprendre, il est déjà loin de nous. Ce que nous percevons en fait, c'est une certaine épaisseur de durée qui se compose de deux parties : notre passé immédiat et notre avenir imminent. Sur ce passé nous sommes appuyés, sur cet avenir nous sommes penchés ; s'appuyer et se pencher ainsi est le propre d'un être conscient. Disons donc, si vous voulez, que la conscience est un trait d'union entre ce qui a été et ce qui sera, un pont jeté entre le passé et l'avenir.
BERGSON,
L'énergie spirituelle, éd. Alcan, p. 5-6
- Spoiler:
Rien n’est plus poétique que le souvenir et l’anticipation ou la représentation de l’avenir. Les représentations du temps passé nous attirent vers la mort, vers la perdition. Les représentations de l’avenir nous poussent vers la vivification, vers l’incarnation, vers une activité d’assimilation. C’est pourquoi tout souvenir est mélancolique, et toute anticipation joyeuse. L’un limite la trop grande énergie vitale, l’autre intensifie une vie trop faible. Le présent ordinaire associe passé et avenir par limitation. Se produit une contigüité, une cristallisation par solidification. Il existe cependant un présent spirituel, qui identifie les deux par dissolution, et ce mélange est l’élément, l’atmosphère du poète.
Novalis
Anarkyss- Bouquet de soleils
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Date d'inscription : 27/02/2017
Re: Les violences de l'amour
Rylke a écrit: Le partage total entre deux êtres est impossible et chaque fois que l'on pourrait croire qu'un tel partage a été réalisé, il s'agit d'un accord qui frustre l'un des partenaires, ou même tous les deux, de la possibilité de se développer pleinement.
Mais lorsque l'on a pris conscience de la distance infinie qu'il y aura toujours entre deux êtres humains, quels qu'ils soient, une merveilleuse "vie côte à côte"devient possible :
Il faudra que les deux partenaires deviennent capables d'aimer cette distance qui les sépare et grâce à laquelle chacun des deux aperçoit l'autre entier, découpé dans le ciel.
Rylke toujours a écrit: Nous savons peu de choses, mais qu'il faille nous tenir au difficile, c'est là une certitude qui ne doit pas nous quitter. Il est bon d'être seul parce que la solitude est difficile. Qu'une chose soit difficile doit nous être une raison de plus de nous y tenir.
Il est bon aussi d'aimer ; car l'amour est difficile. L'amour d'un être humain pour un autre, c'est peut-être l'épreuve la plus difficile pour chacun de nous, c'est le plus haut témoignage de nous-mêmes ; l’œuvre suprême dont toutes les autres ne sont que les préparations. C'est pour cela que les êtres jeunes, neufs en toutes choses, ne savent pas encore aimer ; ils doivent apprendre. De toutes les forces de leur être, concentrées dans leur cœur qui bat anxieux et solitaire, ils apprennent à aimer. Tout apprentissage est un temps de clôture. Ainsi pour celui qui aime, l'amour n'est longtemps, et jusqu'au large de la vie, que solitude, solitude toujours plus intense et plus profonde. L'amour, ce n'est pas dés l'abord se donner, s'unir à un autre. Que serait l'union de deux êtres encore imprécis, inachevés, dépendants ? L'amour, c'est l'occasion unique de mûrir, de prendre forme, de devenir soi-même un monde pour l'être aimé. C'est une haute exigence, une ambition sans limite, qui fait de celui qui aime un élu qu'appelle le large. Dans l'amour, quand il se présente, ce n'est que l'obligation de travailler à eux-mêmes que les êtres jeunes devraient voir. Se perdre dans un autre, se donner à un autre, toutes les façons de s'unir ne sont pas encore pour eux. Il leur faut d'abord thésauriser longtemps, accumuler beaucoup. Le don de soi-même est un achèvement : l'homme en est peut-être encore incapable.
Anarkyss- Bouquet de soleils
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Date d'inscription : 27/02/2017
Re: Les violences de l'amour
Entre deux êtres humains, relatifs, l'amour en effet ne peut être que relatif.
L'amour dans l'horizontale est décevant (paraît-il, je répète ce que j'entends dire sans le vivre, pour moi sur ce plan là aussi c'est parfait.)
L'amour dans l'horizontale est décevant (paraît-il, je répète ce que j'entends dire sans le vivre, pour moi sur ce plan là aussi c'est parfait.)
Cyclopède- Bouquet de soleils
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Points : 3097
Date d'inscription : 01/03/2017
Re: Les violences de l'amour
Bien sûr que la conscience est le lien, entre passé, présent et futur.
"Il existe cependant un présent spirituel, qui identifie les deux par dissolution, et ce mélange est l’élément, l’atmosphère du poète".
Oui là ou je peux naviguer, ou être présent à soi est pour moi plus vaste que le présent spirituel.
Par contre l'idée d'être joyeux par anticipation ou triste d'un souvenir, je le considère comme un attachement aux conséquences et pas à la cause.
La cause est et ne saurait être autrement,
la conséquence n'est pas...elle découle et parfois se transforme en cause...va falloir me mettre à l'asile si je commence à tourner en rond.
"Il existe cependant un présent spirituel, qui identifie les deux par dissolution, et ce mélange est l’élément, l’atmosphère du poète".
Oui là ou je peux naviguer, ou être présent à soi est pour moi plus vaste que le présent spirituel.
Par contre l'idée d'être joyeux par anticipation ou triste d'un souvenir, je le considère comme un attachement aux conséquences et pas à la cause.
La cause est et ne saurait être autrement,
la conséquence n'est pas...elle découle et parfois se transforme en cause...va falloir me mettre à l'asile si je commence à tourner en rond.
jolindien- Maître des fleurs
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Re: Les violences de l'amour
Causes et conséquences, tout ça me semble bien confondu.
Mais si tu vise le fait qu'il nous faut découvrir la cause, je te suis, seulement découvrir la cause c'est penser l'histoire, penser les conséquences, c'est ressasser. C'est interpréter.
Mais si tu vise le fait qu'il nous faut découvrir la cause, je te suis, seulement découvrir la cause c'est penser l'histoire, penser les conséquences, c'est ressasser. C'est interpréter.
Anarkyss- Bouquet de soleils
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Date d'inscription : 27/02/2017
Re: Les violences de l'amour
Penser n'est pas suffisant,
j'emploierai une analogie avec la découverte de la théorie scientifique qui unie toutes les autres.
Au niveau humain donc, réunir les parties.
Penser "mentalement" pourrait même être inutile voire néfaste dans l'intégration de cette cause, je parle d'intégration car c'est la comprendre à tout les niveaux qui composent l'homme.
j'emploierai une analogie avec la découverte de la théorie scientifique qui unie toutes les autres.
Au niveau humain donc, réunir les parties.
Penser "mentalement" pourrait même être inutile voire néfaste dans l'intégration de cette cause, je parle d'intégration car c'est la comprendre à tout les niveaux qui composent l'homme.
jolindien- Maître des fleurs
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Date d'inscription : 26/02/2017
Re: Les violences de l'amour
Nefaste car selon toi ce sera toujours partiel? Une quête impossible ?
Il faut seulement ressentir sans décortiquer les causes de l'existence de ce sentiment ?
Il faut seulement ressentir sans décortiquer les causes de l'existence de ce sentiment ?
Re: Les violences de l'amour
Oui partiel, car on s'enferme dans notre propre conception, on se ferme à d'autres possibles que nous transformons en impossibles.
Il ne faut pas seulement ressentir, il faut être entier, être dans toutes les parties (ou plans de l'existence, mental, corps...).
Il ne faut pas seulement ressentir, il faut être entier, être dans toutes les parties (ou plans de l'existence, mental, corps...).
jolindien- Maître des fleurs
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Points : 2973
Date d'inscription : 26/02/2017
Re: Les violences de l'amour
Je ne sais pas ce que veut dire penser "mentalement". Penser peut-être suffisant.
Si tu dis que les gens se font souffrir eux mêmes, que nous sommes ignorants, je porterais mon accord avec toi.
Seulement, penser au passé c'est aussi décortiquer et apprendre, penser au futur c'est aussi créer ce qui peut être intégré.
Je veux dire pour prendre exemple, je pense à un ancien ami, une ancienne relation ou à ma jeunesse et je découvre soudain mon égoïsme, n'est ce pas cette pensée qui fera que je changerais ? Que je deviendrais meilleur ?
On peut même penser au présent, et "constater" , là soudain je me vois et je suis méprisante ou bien jalouse ou que sais-je, je me choque.
Penser c'est bien, le choc de la pensée c'est mieux.
Il n'y a pas pour moi un plan "mental" et un autre je ne sais quoi. On pourrait le dire oui comme ça, seulement je pense qu'il y a de l'espace, ou pas.
Si tu dis que les gens se font souffrir eux mêmes, que nous sommes ignorants, je porterais mon accord avec toi.
Seulement, penser au passé c'est aussi décortiquer et apprendre, penser au futur c'est aussi créer ce qui peut être intégré.
Je veux dire pour prendre exemple, je pense à un ancien ami, une ancienne relation ou à ma jeunesse et je découvre soudain mon égoïsme, n'est ce pas cette pensée qui fera que je changerais ? Que je deviendrais meilleur ?
On peut même penser au présent, et "constater" , là soudain je me vois et je suis méprisante ou bien jalouse ou que sais-je, je me choque.
Penser c'est bien, le choc de la pensée c'est mieux.
Il n'y a pas pour moi un plan "mental" et un autre je ne sais quoi. On pourrait le dire oui comme ça, seulement je pense qu'il y a de l'espace, ou pas.
Anarkyss- Bouquet de soleils
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Date d'inscription : 27/02/2017
Re: Les violences de l'amour
Oui penser peut-être suffisant, jusqu'à ou.
Si je te dis que ce que j'appelle penser mentalement c'est penser consciemment, et que la conscience englobe ce plan mental mais qu'elle est bien plus vaste.
La conscience serait atemporelle(?), sans temps, donc effectivement naviguer dans le passé, ou le futur pour un mieux au présent, oui.
On parle des mêmes choses avec des référentiels différents, ce que nous sommes.
La souffrance m'est devenue rare, à l'intérieur c'est serein presque en toutes circonstances (au taf devant les classes d'élèves c'est un petit presque, mais cela serait plutôt de la déception devant ce malêtre des jeunes).
edit: je ne cherche pas à comparer, ni à me poser là en disant...voilà moi je sais car je n'ai plus besoin de souffrir,
et pour la douleur physique je peux la diminuer et l'évacuer plus vite...jusqu'à un certain point.
Si je te dis que ce que j'appelle penser mentalement c'est penser consciemment, et que la conscience englobe ce plan mental mais qu'elle est bien plus vaste.
La conscience serait atemporelle(?), sans temps, donc effectivement naviguer dans le passé, ou le futur pour un mieux au présent, oui.
On parle des mêmes choses avec des référentiels différents, ce que nous sommes.
La souffrance m'est devenue rare, à l'intérieur c'est serein presque en toutes circonstances (au taf devant les classes d'élèves c'est un petit presque, mais cela serait plutôt de la déception devant ce malêtre des jeunes).
edit: je ne cherche pas à comparer, ni à me poser là en disant...voilà moi je sais car je n'ai plus besoin de souffrir,
et pour la douleur physique je peux la diminuer et l'évacuer plus vite...jusqu'à un certain point.
jolindien- Maître des fleurs
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jolindien- Maître des fleurs
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Re: Les violences de l'amour
Ok un virus pourquoi pas.
Seulement j'aimerais plus de cohérence.
Là on voit deux campagnol, un fidèle, l'autre non. On injecte dans le non fidèle un virus et hop il devient fidèle.
Soit, plusieurs choses :Sur un longue durée qu’adviennent ces campagnols virusifier ?
Ensuite, quelle preuve que le campagnol monogame d'origine à bien été victime d'un virus et pas l'autre ?
Et surtout, la plus grosse erreur, c'est avoir considérer l'humain "monogame", du peu d’exemple que je vois, j'ai un peu de mal a y croire. Pas seulement en tant que fidélité au sein du couple formé (y'aurait à dire mais bon)
Mais je n'appelle pas fidèle une espèce capable de changer de partenaire que ce soit sur une durée de trois semaines, trois ans etc..
Bon y'en a qui le sont, ok, pourquoi, est-ce que ça frustre ? certains oui, et d'autre, je suis sure que non (rare)
Enfin, il parlent de poètes ect au début. Pourquoi oublier que certains sont plus "élancé" en amour que d'autres ? possède t-il un virus, a-t-on penser à faire des test sur les humains sur leur capacité à "ressenti" l'amour'.
A mon échelle tout ce que je peux constater, c'est que cette "capacité" ne va pas sans "vide".
Je veux bien, l’évolution par virus. Je ne serais pas étonnée, ce serait même normal.
Mais le reste, comment expliquer la souffrance de l'amoureux ? Comment explique t-on qu'un seul individu au sein de l’espèce peut évoluer amoureusement ? virus ?
Comment expliquer qu'un jour on se réveil, à 30 ans, ou 40 ans et qu'on découvre quelque chose que l'on avait jamais connu ? Que l'autre touche nos faiblesses ?
Et c'est quoi ces histoires dont nous parlent les poètes, les philosophes, les artistes ? pourquoi ils parlent de "métamorphose" ? D’où vient leur idée qu'un être puisse totalement se "reprogrammer" au contact de l'amour.
Moi, je vois toujours ça sur une sorte "d’échelle", peut-être l’échelle du vide, c'est peut-être pas bien l'amour, je sais pas.
Seulement j'aimerais plus de cohérence.
Là on voit deux campagnol, un fidèle, l'autre non. On injecte dans le non fidèle un virus et hop il devient fidèle.
Soit, plusieurs choses :Sur un longue durée qu’adviennent ces campagnols virusifier ?
Ensuite, quelle preuve que le campagnol monogame d'origine à bien été victime d'un virus et pas l'autre ?
Et surtout, la plus grosse erreur, c'est avoir considérer l'humain "monogame", du peu d’exemple que je vois, j'ai un peu de mal a y croire. Pas seulement en tant que fidélité au sein du couple formé (y'aurait à dire mais bon)
Mais je n'appelle pas fidèle une espèce capable de changer de partenaire que ce soit sur une durée de trois semaines, trois ans etc..
Bon y'en a qui le sont, ok, pourquoi, est-ce que ça frustre ? certains oui, et d'autre, je suis sure que non (rare)
Enfin, il parlent de poètes ect au début. Pourquoi oublier que certains sont plus "élancé" en amour que d'autres ? possède t-il un virus, a-t-on penser à faire des test sur les humains sur leur capacité à "ressenti" l'amour'.
A mon échelle tout ce que je peux constater, c'est que cette "capacité" ne va pas sans "vide".
Je veux bien, l’évolution par virus. Je ne serais pas étonnée, ce serait même normal.
Mais le reste, comment expliquer la souffrance de l'amoureux ? Comment explique t-on qu'un seul individu au sein de l’espèce peut évoluer amoureusement ? virus ?
Comment expliquer qu'un jour on se réveil, à 30 ans, ou 40 ans et qu'on découvre quelque chose que l'on avait jamais connu ? Que l'autre touche nos faiblesses ?
Et c'est quoi ces histoires dont nous parlent les poètes, les philosophes, les artistes ? pourquoi ils parlent de "métamorphose" ? D’où vient leur idée qu'un être puisse totalement se "reprogrammer" au contact de l'amour.
Moi, je vois toujours ça sur une sorte "d’échelle", peut-être l’échelle du vide, c'est peut-être pas bien l'amour, je sais pas.
Anarkyss- Bouquet de soleils
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Re: Les violences de l'amour
- Spoiler:
- Rylke a écrit: Le partage total entre deux êtres est impossible et chaque fois que l'on pourrait croire qu'un tel partage a été réalisé, il s'agit d'un accord qui frustre l'un des partenaires, ou même tous les deux, de la possibilité de se développer pleinement.
Mais lorsque l'on a pris conscience de la distance infinie qu'il y aura toujours entre deux êtres humains, quels qu'ils soient, une merveilleuse "vie côte à côte"devient possible :
Il faudra que les deux partenaires deviennent capables d'aimer cette distance qui les sépare et grâce à laquelle chacun des deux aperçoit l'autre entier, découpé dans le ciel.Rylke toujours a écrit: Nous savons peu de choses, mais qu'il faille nous tenir au difficile, c'est là une certitude qui ne doit pas nous quitter. Il est bon d'être seul parce que la solitude est difficile. Qu'une chose soit difficile doit nous être une raison de plus de nous y tenir.
Il est bon aussi d'aimer ; car l'amour est difficile. L'amour d'un être humain pour un autre, c'est peut-être l'épreuve la plus difficile pour chacun de nous, c'est le plus haut témoignage de nous-mêmes ; l’œuvre suprême dont toutes les autres ne sont que les préparations. C'est pour cela que les êtres jeunes, neufs en toutes choses, ne savent pas encore aimer ; ils doivent apprendre. De toutes les forces de leur être, concentrées dans leur cœur qui bat anxieux et solitaire, ils apprennent à aimer. Tout apprentissage est un temps de clôture. Ainsi pour celui qui aime, l'amour n'est longtemps, et jusqu'au large de la vie, que solitude, solitude toujours plus intense et plus profonde. L'amour, ce n'est pas dés l'abord se donner, s'unir à un autre. Que serait l'union de deux êtres encore imprécis, inachevés, dépendants ? L'amour, c'est l'occasion unique de mûrir, de prendre forme, de devenir soi-même un monde pour l'être aimé. C'est une haute exigence, une ambition sans limite, qui fait de celui qui aime un élu qu'appelle le large. Dans l'amour, quand il se présente, ce n'est que l'obligation de travailler à eux-mêmes que les êtres jeunes devraient voir. Se perdre dans un autre, se donner à un autre, toutes les façons de s'unir ne sont pas encore pour eux. Il leur faut d'abord thésauriser longtemps, accumuler beaucoup. Le don de soi-même est un achèvement : l'homme en est peut-être encore incapable.
Pour moi c'est tout, ça ne changera rien de savoir si c'est un virus, Dieu, ou je ne sais quoi d'autre.
Anarkyss- Bouquet de soleils
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Re: Les violences de l'amour
Vive l'amour !
Anarkyss- Bouquet de soleils
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Re: Les violences de l'amour
Merde alors !
Anarkyss- Bouquet de soleils
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Anarkyss- Bouquet de soleils
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Re: Les violences de l'amour
Comment expliquer qu'un jour on se réveille, à 30 ans, ou 40 ans et qu'on découvre quelque chose que l'on avait jamais connu ? Que l'autre touche nos faiblesses ?
Parce qu'il faut être prêt à changer, à évoluer. Et il faut un certain nombre d'expériences pour (comprendre un peu cette cause dont nous parlions) se connaître soi.
Toute une vie ne suffira pas à certains pour dépasser leur incomplétude.
D'autres y arriveront relativement tôt.
L'équilibre n'apparait pas n'importe ou et n'importe quand, parfois un individu réunit les conditions pour évoluer.Comment explique t-on qu'un seul individu au sein de l’espèce peut évoluer amoureusement ? virus ?
Il faudrait parler de hasard,
oui le hasard fait bien les choses.
Ce doc apporte une petite pierre à la réflexion, certainement pas de réponse absolue à nos questions, c'est à nous de lier, si on attend qu'on le fasse pour nous on peut toujours attendre.
jolindien- Maître des fleurs
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Re: Les violences de l'amour
Je vous lis avec intérêt
mais ne me sens pas d'intervenir.
Ou bien aurais-je le sentiment de redites.
Ce que mettait bien en relief le livre de mon philosophe allemand,
c'est l'extraordinaire omniprésence et la non moins extraordinaire singularité de "l"Amour".
Peut-être fait-il peur parce qu'on ne peut échapper à ses "tourments", comme disait le XVIIIème.
Sauf à s'appeler Kant ?
(PS. J'ai effacé la suite. Trop banal. :-( )
mais ne me sens pas d'intervenir.
Ou bien aurais-je le sentiment de redites.
Ce que mettait bien en relief le livre de mon philosophe allemand,
c'est l'extraordinaire omniprésence et la non moins extraordinaire singularité de "l"Amour".
Peut-être fait-il peur parce qu'on ne peut échapper à ses "tourments", comme disait le XVIIIème.
Sauf à s'appeler Kant ?
(PS. J'ai effacé la suite. Trop banal. :-( )
ifness- Coquelicot averti
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Re: Les violences de l'amour
"Tout fonctionne avec une énergie mâle et femelle. POur être heureux, il te fait les deux. Nous (les Maasaïs) disons chez nous que tu es rentré à la maison, c'est à dire que tu devenu une personne entière, le jour où tu as réussi à t'insérer tout entier dans ton propre cercle... Pour parvennir à l'unicité de ton propre cercle, seul l'univers peut t'apporter l'énergie du sexe opposé dont tu as besoin. C'est par conséquent la seule source véritable à laquelle tu dois t'abreuver. Et ça se passe automatiquement, à condition bien sûr de rester à l'écoute de ses messages. Mais si tu te contentes de compéter ton cercle en te reliant à une personne qui ne cherche elle aussi à compéter le sien, tu perds instantanément cette connexion vitale.
...
Après un coup de foudre... après cet état de grâce, il y a inévitablement un réveil douloureux.
Vous devenez dépendants l'un de l'autre, vous n'êtes plus libre."
Les neufs leçons du guerrier maasaï
...
Après un coup de foudre... après cet état de grâce, il y a inévitablement un réveil douloureux.
Vous devenez dépendants l'un de l'autre, vous n'êtes plus libre."
Les neufs leçons du guerrier maasaï
emem- Coquelicot averti
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Re: Les violences de l'amour
Oui,
eh bien c'est une des mille et un expressions mythiques de l'Amour.
Ca ressemble un peu au discours d'Aristophane dans Le Banquet de Platon.
(Par parenthèse, le discours platonicien, entre autres discours antiques, ne fait pas l'impasse, loin de là !! sur l'amour homosexuel.
Parce que je me permets de noter qu'il n'en est jamais question ici.
N'existe-t-il aucun LGBT parmi nos membres ? )
( NB. Discours transcendé par celui de la prêtresse Diotime)
Ca montre que le monde entier est bien ennuyé avec ce sentiment.
Et ma parenthèse en rajoute un peu.... Non ?
eh bien c'est une des mille et un expressions mythiques de l'Amour.
Ca ressemble un peu au discours d'Aristophane dans Le Banquet de Platon.
(Par parenthèse, le discours platonicien, entre autres discours antiques, ne fait pas l'impasse, loin de là !! sur l'amour homosexuel.
Parce que je me permets de noter qu'il n'en est jamais question ici.
N'existe-t-il aucun LGBT parmi nos membres ? )
( NB. Discours transcendé par celui de la prêtresse Diotime)
Ca montre que le monde entier est bien ennuyé avec ce sentiment.
Et ma parenthèse en rajoute un peu.... Non ?
ifness- Coquelicot averti
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Re: Les violences de l'amour
emem a écrit:Après un coup de foudre... après cet état de grâce, il y a inévitablement un réveil douloureux.
Vous devenez dépendants l'un de l'autre, vous n'êtes plus libre."
Les neufs leçons du guerrier maasaï
Oui, je serais d'accord si l'on veut parler de liberté.
Mais je crois qu'on est jamais libre.
Et peut-être que la liberté c'est d’accepter cette non liberté.
ifness a écrit:N'existe-t-il aucun LGBT parmi nos membres ? )
Si.
Pour moi il en est aussi question dans tout ça, je ne vois pas en quoi il existerait un amour comme ci et un autre comme ça.
Anarkyss- Bouquet de soleils
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Re: Les violences de l'amour
Je perçois pas trop ce que ça change de qui est composé le couple.ifness a écrit:N'existe-t-il aucun LGBT parmi nos membres ? )
Par contre, si y a plus de 2 personnes j'avoue que ça change...
C'est un concept tellement vaste et flou que j'ai toujours du mal à avoir un avis tranché.Bientôt chef d'orchestre a écrit:
Oui, je serais d'accord si l'on veut parler de liberté.
Mais je crois qu'on est jamais libre.
Et peut-être que la liberté c'est d’accepter cette non liberté.
Pour ma part, je l'ai pris comme l'idée qu'il faut aimer l'autre mais ne pas se perdre dans l'autre.
emem- Coquelicot averti
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Re: Les violences de l'amour
Les homos/bis sont pas forcément LGBT aussi.
edit: if a lu le texte
edit: if a lu le texte
Dernière édition par Gone le Dim 5 Mar 2017 - 18:26, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Les violences de l'amour
Gone a écrit:Les homos/bis sont pas forcément LGBT aussi.
Anarkyss- Bouquet de soleils
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Date d'inscription : 27/02/2017
Re: Les violences de l'amour
Non, mais,
puisque nous sommes sous couvert d'anonymat,
il devrait logiquement exister
des gaucher(e)s
des L et G ou t (ok, B, pas, si ça pose un problème?)
On n'en aperçoit pas la queue d'un(e).
Et puis, oui, le poly-amour, ça existe aussi.
On n'est pas sur ce fil pour filer la Morale, non plus....
puisque nous sommes sous couvert d'anonymat,
il devrait logiquement exister
des gaucher(e)s
des L et G ou t (ok, B, pas, si ça pose un problème?)
On n'en aperçoit pas la queue d'un(e).
Et puis, oui, le poly-amour, ça existe aussi.
On n'est pas sur ce fil pour filer la Morale, non plus....
ifness- Coquelicot averti
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Date d'inscription : 28/02/2017
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Re: Les violences de l'amour
@incognito
Ben ouais, ils se reconnaissent pas tous dans ce mouvement.
Ben ouais, ils se reconnaissent pas tous dans ce mouvement.
Invité- Invité
Re: Les violences de l'amour
ifness a écrit:On n'en aperçoit pas la queue d'un(e).
...
Je viens de te dire si.
Gone a écrit:@incognito
Ben ouais, ils se reconnaissent pas tous dans ce mouvement.
Ah, je pensais pas mouvement.
Anarkyss- Bouquet de soleils
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Re: Les violences de l'amour
A Bientôt
Ok, j'avais pas compris.
Chouette ! On est presqu'au complet, alors ....
L'Amour va peut-être devenir moins violent, du coup.
Ok, j'avais pas compris.
Chouette ! On est presqu'au complet, alors ....
L'Amour va peut-être devenir moins violent, du coup.
ifness- Coquelicot averti
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