Le cinéma parle des génies de notre temps
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Le cinéma parle des génies de notre temps
The man who knew the infintiny
La vie de Srinivasa Ramanujan, un des plus grands mathématiciens de notre temps. Élevé à Madras en Inde, il intègre la prestigieuse université de Cambridge en Angleterre pendant la Première Guerre mondiale et y développe de nombreuses théories mathématiques sous l'égide de son professeur G.H. Hardy.
Le génie à l'état pur " les mathématiques sont l'expression de la pensee de dieu". . J'ai plus rien dit après l'avoir vu. Un peu sonnée. Le théorème des partitions, la théorie sur les nombre premier ( fausse), les marge d'erreur qui tendent vers 0 en même temps que l'infini, les maths qui préexistent et attendent que des génies les traduisent, les maths comme la seule science de Notre vérité ( notre perception). Qui ouvre aussi sur une question : notre réalité est elle la seule existante.
La piété de cet homme d'Inde, sa loyauté et un esprit entier consacré à l'amour des théorèmes et de son épouse.
Le racisme et la bêtise des gens plein de préjugés ( thème plus classique au cinéma)
Une histoire vraie.
La vie de Srinivasa Ramanujan, un des plus grands mathématiciens de notre temps. Élevé à Madras en Inde, il intègre la prestigieuse université de Cambridge en Angleterre pendant la Première Guerre mondiale et y développe de nombreuses théories mathématiques sous l'égide de son professeur G.H. Hardy.
Le génie à l'état pur " les mathématiques sont l'expression de la pensee de dieu". . J'ai plus rien dit après l'avoir vu. Un peu sonnée. Le théorème des partitions, la théorie sur les nombre premier ( fausse), les marge d'erreur qui tendent vers 0 en même temps que l'infini, les maths qui préexistent et attendent que des génies les traduisent, les maths comme la seule science de Notre vérité ( notre perception). Qui ouvre aussi sur une question : notre réalité est elle la seule existante.
La piété de cet homme d'Inde, sa loyauté et un esprit entier consacré à l'amour des théorèmes et de son épouse.
Le racisme et la bêtise des gens plein de préjugés ( thème plus classique au cinéma)
Une histoire vraie.
Re: Le cinéma parle des génies de notre temps
Ses pairs le comparaient à euler.
Et on aperçoit le principia mathematica original.
Et on aperçoit le principia mathematica original.
Re: Le cinéma parle des génies de notre temps
Philosophiae naturalis principia mathematica (latin pour Principes mathématiques de la philosophie naturelle), souvent abrégé en Principia ou Principia Mathematica, est l'œuvre maîtresse d'Isaac Newton. Cet ouvrage en latin, divisé en trois parties (ou livres, du latin liber), est publié à Londres en 1687. La page de titre signale qu'il a reçu son imprimatur le 5 juillet de l'année précédente par le président de la Royal Society, Samuel Pepys[1].
C'est la troisième édition latine, de 1726, dont le texte aura été révisé et enrichi une dernière fois par Newton, qui est généralement considérée comme de référence[2].
Cet ouvrage, qui veut appliquer « les lois mathématiques à l'étude des phénomènes naturels » (Jean-Chrétien-Ferdinand Hœfer), contient les lois du mouvement de Newton qui formèrent le fondement de la mécanique newtonienne ainsi que la loi universelle de la gravitation.
À partir de ces lois, Newton a déduit aussi les lois de Kepler du mouvement des planètes qui avaient été obtenues empiriquement par Kepler. De nombreuses autres choses y sont aussi exposées : les lois des chocs, le mouvement des fluides, la théorie des marées, etc.
En formulant ces théories physiques, Newton développa le calcul infinitésimal, un domaine des mathématiques. Néanmoins, le langage du calcul infinitésimal est largement absent des Principia car Newton y avait reformulé la majorité de ses démonstrations en arguments géométriques, le langage courant de la physique à cette époque.
Dans son édition originale en latin (Londres, 1687), l'œuvre s'ouvre par une préface au lecteur (Praefatio ad lectorem) et un hommage à l'auteur par Edmond Halley (In viri praestantissimi D. Isaaci Newtoni opus hocce mathematico-physicum saeculi gentisque nostrae decus egregium).
C'est la troisième édition latine, de 1726, dont le texte aura été révisé et enrichi une dernière fois par Newton, qui est généralement considérée comme de référence[2].
Cet ouvrage, qui veut appliquer « les lois mathématiques à l'étude des phénomènes naturels » (Jean-Chrétien-Ferdinand Hœfer), contient les lois du mouvement de Newton qui formèrent le fondement de la mécanique newtonienne ainsi que la loi universelle de la gravitation.
À partir de ces lois, Newton a déduit aussi les lois de Kepler du mouvement des planètes qui avaient été obtenues empiriquement par Kepler. De nombreuses autres choses y sont aussi exposées : les lois des chocs, le mouvement des fluides, la théorie des marées, etc.
En formulant ces théories physiques, Newton développa le calcul infinitésimal, un domaine des mathématiques. Néanmoins, le langage du calcul infinitésimal est largement absent des Principia car Newton y avait reformulé la majorité de ses démonstrations en arguments géométriques, le langage courant de la physique à cette époque.
Dans son édition originale en latin (Londres, 1687), l'œuvre s'ouvre par une préface au lecteur (Praefatio ad lectorem) et un hommage à l'auteur par Edmond Halley (In viri praestantissimi D. Isaaci Newtoni opus hocce mathematico-physicum saeculi gentisque nostrae decus egregium).
Re: Le cinéma parle des génies de notre temps
Et vous avez vu Hidden faces ? Figures de l'ombre ? c'était sympa ! Moi j'ai bien aimé.
EscargotToutChaud- Coquelicot averti
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Date d'inscription : 04/03/2017
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